Aujourd’hui, départ pour la Chine. Lever aux aurores pour prendre le Shinkansen, direction l’aéroport d’Osaka (Kansai), île artificielle dans la mer, construite juste pour l’aéroport, à plus d’1h30 de Kyoto. Arrivée à la gare de Kyoto, la gare est complètement vide et les portes sont encore fermées. Nous allons donc prendre le premier train du matin de 5h45. Pour être tranquille nous laissons nos gros sacs de « support » au Japon, car nous repasserons à Tokyo dans quelques jours.
2h30 plus tard, à l’aéroport de Shanghai – Puddong, pas de gros soucis, ce n’est pas aussi bien organisé qu’au Japon mais ça va assez vite. Ils sont assez regardants sur tout ce qui est maladies et infections, du coup nous sommes scannés par des caméras thermiques qui vérifient notre température pour voir si on est susceptible d’être malade. C’est ce qui était expliqué dans l’avion, à l’arrivée, nous avons cherché ces fameuses caméras. Nous n’avons trouvé que des gros portiques, nous ne saurons jamais le fin mot de l’histoire. Mais c’est bon à savoir, en cas de suspicion de fièvre, il vaut mieux avertir les autorités.
Pour le contrôle des passeports, pas d’empreintes comme au Japon, juste une photo rapide qui s’affiche sur un écran avec le récapitulatif des infos du passeport, à valider. De l’autre côté, il est possible de noter le travail du guichetier à l’aide de 2 boutons avec un smillez content et un autre pas content. Difficile de juger en même pas 5 min, c’est intéressant comme principe. Lors de l’obtention de mon visa qui a tout de même coûté 70 euros, ils avaient mis mon nom de jeune fille. Comme pour le Japon, il faut remplir une petite fiche dans l’avion et j’avais mis mon nom d’épouse, du coup, la personne était un peu perdue, elle m’a demandé d’épeler mon mon et elle a fait les corrections sur sa machine. Bref, rien de bien grave. C’est bon, je peux entrer en Chine.
En Chine, ce ne sont plus des yens mais des yuans cette fois, celà représente environ 12 euros pour 100 yuans. Sur place, notre transferiste « voyageurs du monde » en Chine, nous attend. Ça fait bizarre de voir son nom sur un panneau à la sortie de l’aéroport, ça fait un peu VIP. Mais en Chine, surtout Shanghai, ce n’est pas aussi facile qu’au Japon pour prendre les transports et acheter des billets. Nous préférons donc être accompagnés de quelqu’un pour nous aider. Il s’appelle Yann et surprise, il parle français.
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